Najia, Ou LApprentissage De LAdultère (7Ème Partie)
Au bout de quinze jours de merveilleux moments érotiques vécus à trois couples (le mien, celui de Raïssa et celui de ma belle-sur ), Horia et Frédéric, repartirent pour la France, laissant en nous un grand vide. Pour moi, Frédy avait été une véritable découverte. Il avait été pendant ces quinze jours mon amant attitré. Cétait comme si jen avais eu lexclusivité, avec lassentiment de tous - y compris de Horia, qui sétait accoquiné avec Mouloud, mon premier amant. Javais découvert un homme dans toute sa splendeur : un homme qui parlait peu et qui baisait beaucoup. Et puis, jétais vraiment tombée amoureuse de son immense sexe non circoncis. Cétait un plaisir toujours renouvelé - et super excitant - de le regarder grossir et faire apparaître progressivement un gland turgescent, très large et brillant. Cela mexcitait et mamusait énormément. Je redevenais une qui jouait, en sesclaffant et en exprimant bruyamment sa joie, avec son jouet préféré. Le bonheur et la joie puérils dont je faisais preuve amusaient aussi Frédéric qui avait fini par se prendre au jeu de la bandaison, suivi dun assaut furieux dun de mes trous, puis de la débandaison (je sais que ce mot nexiste pas, mais je nen trouve pas dautre pour décrire létat de mollesse du sexe masculin repus) qui sensuivait obligatoirement et dune autre érection phénoménale, que je déclenchais en lexcitant par tous les moyens en ma possession. .
Je le caressais, le léchais, le titillais avec la langue. Même que je lui parlais pour linciter à se réveiller, comme sil avait une personnalité indépendante de lhomme qui le portait ! Et quil mentendait et comprenait ce que je lui susurrais. Et ça marchait ! Je lui parlais, tantôt en arabe, tantôt en kabyle. Cela plaisait beaucoup à Frédy, qui ne comprenait pas la signification exacte des mots, mais en devinait le sens. Il mavait avoué quil adorait quand je lui parlais comme cela, dans une langue quil ne comprenait pas, mais qui lui paraissait superbement érotique.
Lhomme était infatigable ! Je peux dire que pendant ces quinze jours quil passa chez nous, jen avais eu pour mon argent ! Ce vocabulaire de pute, javais fini par me lapproprier, à force dentendre mes amants y compris, mon mari lutiliser. « Je vais te donner pour ton argent !» ; « tu en as eu pour ton argent ! » ; « tu en auras pour ton argent ! ». Chacun de mes amants lutilisait soit - avant lacte - pour se vanter de ses capacités sexuelles, soit, le plus souvent - après nos ébats - pour mannoncer quils avaient atteint leurs limites physiques. Sauf Frédéric ! Il nétait pratiquement jamais fatigué. Cétait toujours moi, qui pourtant étais devenue une vraie nymphomane, qui criais merci, la première. Nous finissions tous les deux sur les rotules et à bout de souffle. Et nous terminions toujours nos ébats dans la salle de bain où nous passions près dune heure à batifoler comme des gosses et à reprendre nos moyens physiques.
Le départ du couple, fut pour moi un drame. Il me semblait avoir perdu une partie essentielle de moi-même. Je savais que personne nétait capable de remplacer mon magnifique amant de quinze jours. Jen voulus même à Horia de me lavoir repris. Jétais bien sûr injuste envers elle qui ny était pour rien, mais je ne pouvais pas commander mon ressentiment. Je voulais le garder encore quelque temps ; une autre quinzaine de jours ; une semaine ; une journée ; et même une seule heure de plus ! Javais fini par lavoir dans la peau ! Comme je comprenais Horia, qui se létait approprié ! Même si lun et lautre allaient voir de temps en temps ailleurs !
Je restais longtemps avec une boule sur le cur.
Je pense avoir été très injuste avec mes amants (Je considérais Raïssa comme mon amante, parce que régulièrement, nous finissions nos ébats avec les hommes par une magnifique séance de caresses et de broutage de chattes. Cela nous apaisait et mettait un peu de tendresse féminine, dans le monde de brutes masculines). Mais je narrivais pas me retenir de leur casser les pieds et même chercher à les complexer avec les capacités supérieures de Frédéric. Et puis le temps fit son affaire, et petit à petit Frédy sévapora de mon esprit pour devenir un souvenir impalpable et une nostalgie. Les choses mirent un peu de temps à se remettre en place, mais petit à petit nous nous retrouvâmes comme auparavant. Nous recommençâmes à nous aimer à cinq.
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Rachid avait fini par devenir un membre à part entière du groupe. Il assistait à pratiquement tous nos ébats et parfois y participaient. Il finit même par me faire une infidélité en tirant Raïssa comme un taureau. Faut dire que cétait elle qui lavait chauffé à blanc, en lui léchant le sexe en érection maximale, quil était entrain de caresser doucement en observant Mohand entrain de me tirer en levrette. Elle sétait mise à genoux devant lui et prit dautorité le manche de mon mari quelle lécha longuement, sans quil ne bouge : sans quil nacquiesce, ni ne proteste .
- Arrête de les regarder comme ça et viens me tirer ! Je veux goûter à ton manche ! Il ma lair très doux ! Je veux de la douceur ! Ces deux hommes ne sont que des brutes ! Viens leur montrer comment on peut faire plaisir à une femme ? en la baisant avec douceur et tendresse !
Tout en me faisant tirer en force par son mari jétais à quatre pattes, la tête dirigée vers le centre du salon, où ils se tenaient - je regardais avec curiosité la réaction de mon époux. Pour une fois, le gros engin de Mohand qui limait furieusement ma vulve, mintéressait moins que le spectacle qui se déroulait sous mes yeux. Jétais prête à parier quil allait refuser : depuis que nous nous sommes mariés, il ne mavait encore jamais trompé. Je lui avais toujours suffi. Et même depuis que je lui faisais porter des cornes, il navait jamais émis le besoin de tenter une expérience érotique avec une autre femme. Il naimait me répétait-il souvent faire lamour quavec moi. Il ne prenait du plaisir quavec moi et ave mes souillures provenant de mes ébats antérieurs avec mes amants. Autant, il aimait que je parte avec dautres hommes - et depuis quelques jours, il me parlait même de son envie de me voir avec des amants nouveaux autant lui se contentait de moi seule. Ses fantasmes étaient bloqués sur ma seule personne.
Mais comment résister à Raïssa ? La magnifique plante ukrainienne qui avait un corps superbe et qui savait si bien sen servir. Elle le titilla si bien avec sa langue, ses mains et ses paroles que Rachid finit par céder. Mais au lieu de faire ce quelle lui demandait lui faire lamour en douceur et non pas la titrer comme une brute il fit exactement le contraire. Je le vis avec étonnement, soulever la femme aussi facilement que si elle ne pesait que quelques kilogrammes et la jeter brutalement sur le divan en la positionnant en levrette.
- Tu veux de la douceur ? Et bien je vais ten donner de la douceur ! Tu veux de la tendresse ? Je nen ai que pour Najia ! Toi je vais te tirer comme une pute ! Une salope !
- Salaud, tu es bien comme tous les hommes ! Une brute ! Jadore les brutes ! Je ne veux pas de douceur ! Ni de tendresse ! Je ne disais ça que pour tappâter ! Et jai eu raison ! Je veux que tu continues à menculer comme ça,en force ! Je veux que tu marrache le boyau ! Que tu me défonces ! Que tu me fasses hurler ! Que tu me donnes du bonheur ! Jadore être enculée ! Oui ! Oui ! Encore ! Plus fort ! Comme ça !
Je regardais mon mari, dont le visage était devenu tout cramoisi à cause des efforts quil faisait pour tirer de plus en plus fort lukrainienne. Je regardais avec ravissement son air farouche et sa bouche grande ouverte, doù sortaient des rugissements rauques. L était superbe de fureur ! De temps en temps, il tournait le visage vers moi, comme pour sinquiétant de la manière dont je prenais les choses. Il craignait de moffusquer par ce quil était entrain de faire - parce quil était entrain de me tromper ! Il craignait certainement une réaction violente de ma part. En fait, jétais à mille lieues de penser de telles choses pour moi, il était totalement naturel, que mon mari se fasse plaisir lui aussi en expérimentant un autre cul que le mien. Et jétais même en admiration devant la manière dont il se comportait avec sa nouvelle maîtresse.
Il était le Taureau qui entreprenait la Vache (ave des majuscules)! Avec la même vigueur et la même brutalité ! Et il était tellement beau comme ça ! Cétait comme si je découvrais un nouveau mari ! Un mari tout en puissance et en brutalité ! Un mari qui mavait rarement habitué à une telle furie en amour ! Je crois que si ma chatte nétait pas occupée avec le gros bâton de Mohand, qui me tirait en levrette, je me serais élancée vers le couple, jaurais arrachée Raïssa des bras du Taureau et jaurais pris la place de la Vache! Sans pouvoir réellement me lexpliquer, il y avait en moi , en ce moment là, un énorme sentiment de fierté davoir un tel mari !
Et lUkrainienne continuait de pousser des « oui !!!! », des « encore !!!! », des « vas-y !! », des « plus fort !», jusquau moment où elle poussa un hurlement de folle et se mit à décharger. Je lavais vu jouir un nombre incalculable de fois avec Mouloud, avec Mohand, et marginalement, avec moi quand il nous arrivait de nous bouffer mutuellement la chatte mais jamais encore de cette manière ; une jouissance animale. Je ne sais pas si dans la vraie vie, les chiennes je parle des vraies chiennes jouissent quand elles se font tirer par leurs mâles en rut, mais cest réellement à cela que je pensais, en regardant Raïssa extérioriser tout le plaisir quelle prenait.
Jai moi-même souvent eu des orgasmes très forts en me faisant tirer par mes amants; des orgasmes dune intensité telle que je métais souvent retrouvée à la limite de lévanouissement. Je hurlais toujours très fort pour extérioriser tout le plaisir que je prenais de me faire défoncer par des mecs super bien montés et dune virilité à toute épreuve. Et si ce qui se déroulait sous mes yeux navait rien de nouveau en la matière, la manière quavait Raïssa de prendre son plaisir et de montrer la très forte intensité de lorgasme quelle était entrain davoir, avait quelque chose de surnaturel. Ce nétait plus une femme, cétait une femelle ! Une femelle de félin ou de fauve ! Une panthère en chaleur qui feulait sous les coups brutaux de son mâle. Elle en avait le regard et le rictus. Elle avait les lèvres tirées et les dents menaçantes ! Il me semblait que si quelquun avait le malheur de trop sapprocher deux, elle le déchirerait à coups de griffes et de crocs. Et quand tout fut fini, elle avait lair repu et heureux de la panthère! Elle devenait même câline !
Rachid continua un moment les va-et-vient de son manche dans le cul de Raïssa qui venait de décharger une énorme quantité de cyprine sur le fauteuil, et poussa lui aussi un long rugissement en éjaculant dans le rectum de la belle. Il regarda un moment tout le foutre qui ressortait de lanus de sa maîtresse, et semblait satisfait de ce quil voyait et/ou de ce quil avait fait. Il ne manifesta pas plus de plaisir que cela ! Peut-être quil ne voulait pas me blesser en montrant à tout le monde tout le plaisir quil avait pris à enculer la belle ukrainienne ; ou peut-être que sa jouissance à lui navait pas été aussi intense que celle de la femme. Avec moi, il jouissait plus bruyamment et ne débandait pas de la nuit ! Je crois que cet après-midi là, jeus la preuve que mon mari nétait vraiment heureux quavec moi. Et égoïstement, jen étais vraiment heureuse !
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Notre vie continua ainsi pendant quelque temps. Nous arrivâmes ainsi au début de lété. Et les choses commencèrent à changer. Il nous sembla, à tous les cinq, que la monotonie commençait à sinstaller dans notre vie et que bientôt, nous naurions plus autant de plaisir à nous retrouver. Il nous paraissait que nous avions fait le tour de ce chacun de nous pouvait donner au groupe et que nous ne faisions plus que nous répéter. Or la répétition, entrainait lhabitude ; et lhabitude est le plus efficace des « tue lamour ». Il nous fallait absolument quelque chose de nouveau ; quelque chose ou quelquun pour remettre un peu de piment à notre vie. Ce fut Raïssa qui la première nous parla dun homme quelle venait de rencontrer à lambassade de son pays, dans laquelle elle travaillait à temps partiel, comme interprète et sur lequel elle avait flashé.
Lhomme en question était un de ses compatriotes qui venait dêtre muté au service économique de lambassade ukrainienne en Algérie. Elle disait quil était magnifique et quil lui avait redonné la nostalgie de son pays. Quil avait certainement été un grand sportif, qui avait pratiqué longtemps un de ces sports de combat judo ou karaté qui donnait aux hommes qui les maîtrisaient une superbe musculature et une apparence de puissance physique extraordinaire. Elle lavait trouvé à son goût ; non pas quil soit beau, charmant, élégant, ou quoi que ce soit de ce genre. Non, ce qui lavait attiré, cétait la force et la puissance qui se dégageait de lui. Elle disait quil devait avoir la quarantaine et quil était très grand, avec des épaules très larges, une taille légèrement empâtée, un ventre plat, de très longues jambes surmontées de cuisses puissantes. Un vrai taureau ! disait-elle. Un taureau qui fonçait, sans réfléchir, sur le moindre chiffon rouge quon agitait devant lui. Et dès le départ, elle avait remarqué quelle lui plaisait. Elle devinait, au regard lubrique quil posait sur elle, quil avait envie de la tirer. Elle lui avait tapée dans lil et dévidence, il bandait très fort pour elle.
Elle nous dit quelle avait été aussitôt intéressée par lui et quil lui paraissait être un homme à la hauteur de ses énormes besoins sexuels. Quil était certainement capable de lui donner tout le plaisir quelle cherchait chez un homme. Et puis quelle pourrait refaire lamour, pour la première fois depuis des lustres, dans sa propre langue. Et que ça lexcitait au-delà de tout. Elle lui avait fait comprendre sans le lui dire franchement, quil lui plaisait et quelle pourrait être partante pour une aventure amoureuse avec lui. Mais elle voulait dabord obtenir notre accord. Et si nous le lui donnons, elle linviterait le lendemain même à la maison. Elle avait déjà élaboré un scénario : elle amènerait Sergueï - il sappelait comme cela - à la maison et ils se retrouveront un long moment seuls pour baiser. Mohand entrera en scène après les premiers ébats, et pourra - avec lassentiment de lukrainien, quelle aurait auparavant averti des murs particulières du couple - participer à la scène. Et si tout se passe bien, nous pourrions apparaître quelques jours plus tard, Mouloud, Rachid et moi, pour prendre part au festin. Bien entendu, nous donnâmes le feu vert à Raïssa et son mari pour tenter laventure avec Sergueï, mais sans nous inscrire complètement dans le scénario tracé. Nous verrons plus tard si la chose valait la peine dêtre tentée. Mouloud lui, était assez tenté par lexpérience : il disait quil rêvait, depuis longtemps, denculer Raïssa pendant quelle sempalerait sur le manche dun autre homme que Mohand. Et cétait là loccasion de réaliser son rêve.
Mais Rachid et moi, voulions respirer un peu et prendre, pour quelque temps, de la distance par rapport à nos amis. Nous avions décidé de prendre une quinzaine de jours de vacances, pour nous ressourcer. Mon mari, était en contact permanent avec un ingénieur marocain avec lequel il avait tissé des relations daffaires. Depuis le temps, ils avaient fini par devenir des amis. Djalil, était venus plusieurs fois en Algérie et avait chaque fois séjourné chez nous, de préférence quà lhôtel. Cétait un homme dune cinquantaine dannées, vraiment charmant. Il nous invitait régulièrement à aller lui rendre visite dans on pays. Il habitait Safi une charmante petite ville côtière au sud de Casablanca, la capitale économique du pays. A chaque fois, nous déclinions poliment linvitation : Rachid ne pouvait pas se libérer étant professionnellement très pris ; et moi je refusais de partir quelque part en vacance, sans mon mari.
Cette fois-ci nous, quoique cela coûtât en manque à gagner pour mon mari, nous étions décidés à prendre des vacances. Pour moi cétait facile, il y avait les vacances dété. Pour Rachid, cétait un peu plus compliqué, son travail était plus contraignant, mais il était décidé à arranger les choses. Mais nous ne voulions pas passer les vacances à Safi chez notre ami. Nous ne voulions pas le contraindre et surtout, nous voulions garder notre totale liberté de mouvements. Nous avions projeté de descendre encore plus au sud que Safi, à Essaouira, un magnifique petit port sur lAtlantique, pour y passer une quinzaine de jours. Cétait une ville qui commençait à devenir très courue par les touristes, mais qui pour linstant gardait encore son cachet dauthenticité (cétait du moins ce que disaient les sites internet qui en parlaient). Nous voulions utiliser notre ami Djalil pour nous réserver les chambres dhôtel et venir nous accueillir à laéroport de Casablanca. Nous voulions aussi quil soccupe de nous louer une voiture pour nous permettre de rejoindre notre lieu de villégiature. Il accepta avec plaisir de nous chaperonner et soccupa de tout ce que nous lui avions demandé.
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Nous arrivâmes au Maroc au tout début du mois daoût, en pleine canicule. Nous fûmes accueillis à laéroport de Casablanca, à bras ouverts par Djalil qui nous emmena directement à Safi. Nous passâmes deux journées dans sa magnifique demeure, traités comme des coqs-en-pâte par notre ami et sa nombreuse famille. Puis nous prîmes la route pour Essaouira, où notre hôte nous avait réservé une chambre dans le plus grand hôtel de la ville. Nous fûmes agréablement surpris par la situation géographique de létablissement carrément les pieds dans leau, face à locéan - par le confort de la grande chambre et par la qualité du service. Cétait réellement idéal pour nous reposer, et remettre nos idées en place. Le premier jour, nous partîmes en reconnaissance dans la ville, le port et les alentours et découvrîmes une région réellement magnifique, avec pleins de sites historiques.
Sans nous être auparavant consultés, nous décidâmes Rachid et moi de passer nos vacances, comme chacun de nous lentendait : nous ne voulions pas rester ensemble en permanence. Chacun de nous devait avoir la liberté de faire ce qui lui plaisait vraiment. Cela devait être pour nous des vacances exceptionnelles ; inédites. Rachid me susurra à loreille que si jamais, une belle occasion - sous entendu, sexuelle - se présentait à moi, il fallait que je men saisisse. Il ne voulait pas que je me prive de quoi que ce soit qui pouvait me donner du bonheur. Il voulait que je profite au maximum de ces jours de vacances et de farniente. Rachid, qui avait la passion de la pêche, avait, avec laide de Djalil qui avait auparavant fait le nécessaire, loué un petit bateau afin de partir tous les jours, taquiner le gros poisson.
Moi, je voulus profiter du confort de lhôtel pour me reposer. Javais besoin de farniente pour me ressourcer et faire le vide en moi. Il fallait que je réfléchisse sérieusement sur notre mode de vie et les suites quil convenait de lui donner. Et puis je voulais lire. Javais tellement de lectures en retard et voulais profiter du temps libre que jaurai, pour les rattr. Javais ramené avec moi plein de livres des romans surtout - et me promettaient de les lire, tout en profitant du soleil et de leau de la piscine. Cétait ce que je voulais réellement faire. Je navais en tête aucun projet sexuel particulier. Je pensais avoir assez emmagasiné de plaisir pendant tout lannée écoulée, pour pouvoir men passer pendant une quinzaine de jours. Et si le besoin se faisait sentir, il y avait pour cela mon mari, avec lequel, je pouvais batifoler, toutes les nuits, sur lénorme lit de la chambre. Mais le destin en décida autrement.
Le lendemain de notre arrivée à lhôtel, jétais allongée sur un transat au bord de la piscine, vers seize heures, entrain de lire le dernier roman de Paulo Coello. Je navais pour seule tenue, quun tout petit bikini de couleur noire, que je portais pour avoir le bronzage le plus étendu possible. Jétais totalement plongée dans la lecture du roman, quand mon attention fut attirée par les rires indiscrets dun couple qui venait darriver et sétait installé sur deux des transats qui me faisaient face, de lautre côté de la piscine.
Je vis un couple de jeunes européens, blonds et vraiment très beaux, qui devaient avoir trente cinq ans chacun. Ils étaient en tenue de bain, qui ne cachait rien de leurs anatomies. La femme était grande et toute en rondeurs : une vraie bimbo, me dis-je, avec une parfaite mauvaise foi. Je ne voyais en elle quune femme superficielle, ne soccupant que de son apparence physique. Mais cétait surtout lhomme qui avait attiré mon attention. Un vrai viking ! Blond avec une longue tignasse bouclée et des yeux bleus. Il était très grand probablement plus dun mètre quatre-vingt-dix avec un corps sculpté par des années de pratiques assidues dun sport autre que le bodybuilding. Il nétait pas massif comme tous ces homme et même maintenant des femmes qui soulèvaient des tonnes de plomb par jour, pour se forger des muscles puissants et massifs. Ses muscles à lui étaient longs et harmonieux : il donnait une impression de grande force, mais une force tranquille et sereine. Et attirante ! Pas une force qui ne suscitait que de la crainte !
Je compris très vite quil sagissait dun couple qui venait du nord de lEurope : Suède ou Danemark, pensais-je. Je sus par la suite que javais tout faux, puisque le couple était originaire des Pays Bas et habitait dans la proche banlieue de Rotterdam. Elle sappelait Marja et lui Jan (Probablement les équivalents latins de Maria et Jean). Cétait la langue quils parlaient entre eux qui avait attiré mon attention : une langue aux intonations rugueuses, comme pouvaient lêtre les langues à forte influence germanique.
Je narrivais plus à me concentrer sur mon livre. Je restais plusieurs minutes sans pouvoir lire une seule ligne du roman que javais entre les mains. Mon regard était attiré par lhomme, comme par un aimant. Et lui aussi me regardait. Je crus un moment quil me souriait discrètement. Plus je le regardais et plus je sentais mes sens se réveiller. Je sentis une douce chaleur semparer de mon corps, en partant de mon bas ventre pour se répandre, à travers ma colonne vertébrale, dans mes viscères. Je la sentis même sur mes joues, qui devaient avoir viré au rouge.
Lhomme me regardait avec insistance. Je sentais son regard bleu ciel scruter ma poitrine et surtout mon entre-jambes, comme sil cherchait à deviner la forme, la couleur et la fermeté de ma chatte. Il me regardait effrontément, sans fausse honte et avait, sur ses fines lèvres, un sourire moqueur. Cétait comme sil me disait très distinctement : « tu me plais et jai envie de te tirer ! ». Cétait, jen étais sûre, ce quil essayait de me faire comprendre, à travers son regard insistant et son sourire moqueur. Je sentis ma chatte frémir et je soutins, sans sourciller, le regard de lhomme. Ce fut lui, qui baissa les yeux le premier.
Les choses restèrent en létat pendant environ une heure. Puis lhomme se leva subitement, pris sa compagne par la main pour la faire se lever de son transat et, tout en me jetant un regard coquin, passa son bras droit autour de la taille de la blonde et lentraina vers lhôtel. En passant devant moi, il me lança une illade malicieuse et tapota doucement les fesses de son amie. Mon cerveau travaillait à la vitesse de la lumière. « Le salaud, me dis-je, il va aller la tirer ! Il est en chaleur ! ». Javais le bas ventre qui me faisait mal et la chatte qui palpitait de désir. Je rentrai moi-aussi dans la chambre pour tenter de me calmer. Je pris une longue douche froide, mais le désir était toujours là.
Au retour de Rachid, avant même quil ne prenne sa douche pour enlever lodeur de poisson quil avait sur lui, je lui sautai dessus pour quil me fasse lamour.
- Nik-ni bezzour ! Rani skhouna ki el-kelba ! Laqit gaouri li red-ni hakdha! Bghit en-nik ! Bghit te tteffi ennar li yehrag-ni! (Baise-moi en force ! Je suis en chaleur comme une chienne ! Jai rencontré un européen qui ma mise dans cet état ! Jai envie de baiser ! Je veux que tu éteignes le feu qui me consume !)
- Il sest passé quelque chose entre vous ?
- Non, mais je te promets, que demain, il me baisera ! Je le veux et je laurai ! Il faut seulement que je trouve le moyen de le séparer de la bimbo qui est avec lui. Et je trouverai.
Rachid était émerveillé. Il était aussi excité que moi par ce que je venais de lui dire. Pour lui, le simple fait de lui avouer avoir rencontré un autre homme et que je mouillais pour lui, avait réveillé son désir et avait porté son zob au maximum de lérection. Je pouvais voir leffet de mes mots sur le devant de son jean : une grosse bosse impudique, qui indiquait toute lintensité de son excitation.
- Nahi houaïdjek ou arrouah tedjeb-ni ! Berred-ni ! Ma nendjemch nestena ! (Enlève tes habits et viens me tirer ! Refroidis-moi ! Je ne peux plus attendre !)
Il bandait tellement fort que son sexe était devenu énorme ! Il me tira en force en soufflant comme un phoque. Je me rendais compte quil essayait de ne pas faire trop de bruit, pour ne pas attirer lattention des autres locataires de lhôtel. Je venais soudain de me rendre compte, que nous étions dans un hôtel et cela accrut encore dun cran mon excitation. Baiser dans une chambre dhôtel avait été longtemps un de mes fantasmes sexuels. Peut-être à cause de lidée que je me faisais des hôtels de passes, qui étaient le lieu de travail des prostituées. Ou peut-être parce que cétait aussi le lieu traditionnel des rencontres des couples illégitimes. Les femmes qui cocufiaient leurs époux, le faisaient le plus souvent dans des chambres dhôtel.
- Nik qahba ! Martek woulet qahba ! Qahba li et-hab zboubs kbar ! Zboubs machi mkhatnin ! Edjbed-ni bezzour ! (Baise la pute ! Ta femme est devenue une pute ! Une pute qui adore les gros zobs ! Les zobs non circoncis ! Tire-moi en force !)
Il enleva frénétiquement son jean et son boxer et resta en tee-shirt. Il confirma ce que savais déjà : il bandait tellement fort que son sexe en tremblait. Il frétillait dimpatience. Il me souleva du sol pour me jeter sur le lit, écarta les pans de la sortie de bain que je portais, me fit relever les jambes pour que je puisse poser mes chevilles sur ses épaules et vint sallonger sur moi, me cassant littéralement en deux. De sa main droite, il guida le gland de son manche pour lui faire prendre le bon chemin et, dun coup de rein brusque, me pénétra en mapostrophant, comme sil sadressait à une pute. Il avait compris que cela me donnerait encore plus de plaisir en me considérant, et en me traitant ainsi.
- Khoudhi ya qahba ! Khoudhi zebi ! Goulili en-heb zebek ! Rayeh en-kassarlek hatchounek ! Ou ki en-kmal ma3a souwtek, en kasserlek ga3rek ! En heb el hatchoun ! en-mout a3la el hatchoun ! Hatchoun ! Hatchoun !!!! (Prends, espèce de pute ! Prends mon zob ! Dis-moi que tu aimes mon zob ! Je suis entrain de te détruire la chatte ! Et quand jen aurai terminé avec ta chatte, je te démolirai le cul ! Jaime la chatte ! Jadore la chatte ! La chatte ! La chatte !!!)
Et Rachid allait et venait en moi avec une force de pénétration exceptionnelle. Dans la position dans laquelle jétais, il pouvait pousser son manche jusquau plus profond de mes entrailles. Et il me faisait mal. Mal avec son zob et mal aussi avec tout le poids de son corps qui pesait très fort sur moi et me cassait en deux. Chaque fois quil me pénétrait, il poussait sur ses épaules pour obliger mes jambes à remonter jusquà mes propres épaules. Il me faisait très mal aux reins en mobligeant à plier ainsi. Mais il nen avait cure ! Il continuait son uvre de sape. Il me pilonnait avec de plus en plus de force et me faisait crier de douleur et de plaisir. Contrairement à Rachid qui sefforçait de ne pas faire trop de bruit, moi je men fichais totalement quon mentende hurler. Au contraire, je voulais que lon mentende dans tout lhôtel. Je voulais que tout le monde sache que jétais entrain de me faire tirer et que je jouissais très fort ! Je voulais que mon viking, qui ne devait pas être très loin, sache ce qui lattendait quand il allait à son tour me tirer.
- Tahhan rak touwdja3ni! Touwdja3ni bezzaf ! Mlih! Hlou ! Zid edjebed ! Zid ! Werry-li qouwat zebek ! Qouwet ezzeb ! Ezzeb ! Ezzeeeeb !!!!! (Espèce de cocu, tu me fais mal ! Tu me fais très mal ! Cest bon ! Cest doux ! Continue de tirer ! Encore ! Montre-moi la puissance de ton zob ! La puissance du zob ! Zob ! Zoooob !!!!)
Je ne pus mempêcher de décharger. Jétais un peu déçu davoir joui aussi vite ! Mais cétait tellement bon ! Jétais très essoufflée et la position dans laquelle jétais mavait beaucoup fatiguée. Le zob de Rachid était quant a lui, encore vigoureux. Il navait pas encore joui. Le connaissant comme je le connaissais, je savais quil se retenait pour pouvoir éjaculer dans ma bouche et sur mon visage. Il adorait cela. Il aimait me remplir de son foutre et me regarder, les yeux brillant de bonheur, boire ce quil éjaculait directement dans ma bouche et ramasser le reste avec mes doigts, pour ensuite les lécher et avaler le liquide visqueux.
Il sortit son manche de ma chatte et se retira dentre mes cuisses pour me permettre de reposer mes jambes à plat sur le lit. Il vint se mettre à genoux, à quelques centimètres de mon visage et entama une furieuse branlette, qui transforma son manche en tison tout rouge. Il navait pas besoin de mouiller sa main pour la faire glisser plus facilement sur la hampe. Son zob était encore bien enduit du jus visqueux quil avait recueilli dans mon vagin, quand il me tirait. Je regardais avec gourmandise, sa main qui allait et venait furieusement le long de la hampe, dépasser le gland, le serrer fortement et prendre le chemin inverse jusquà la base du mât. Et elle repartait de plus belle. Pendant quil se branlait ainsi, il me regardait sans rien dire. Mais ses yeux brillants, sa bouche ouverte, la salive qui dégoulinait de ses lèvres, les petits sifflements quil poussait quand il inspirait lair par la bouche, tout cela parlait pour lui. Ils disaient tout le plaisir quil prenait en pensant au moment où il allait exploser et menvoyer des giclées de foutres brulant, visqueux et épais sur la bouche, le visage, le cou et les seins.
Il était aussi heureux en me voyant attendre impatiemment ce moment où je verrais son sperme gicler violemment de son zob et venir claquer sur mon visage. Et de fait jétais dans une attente impatiente du moment où il poussera un rugissement, dont il narrivera pas à atténuer lintensité, et se videra sur moi. Depuis le temps, javais fini par adorer être remplie de sperme. Jaimais cette sensation de liquide chaud, humide et visqueux qui sétalait sur tout mon corps. Jaimais avaler le foutre par petite gorgées, tout en claquant la langue pour montrer à lamant qui venait déjaculer sur moi, tout le plaisir gourmand que je prenais à le faire. Jaimais étaler, avec mes doigts, le sperme qui se trouvait sur mon cou, mes seins et même entre mes cuisses quand mon amant avait éjaculé à lintérieur de ma chate et que le jus en était ressorti. Rachid avait inventé un néologisme pour qualifier ma relation bizarre avec le sperme : il disait que jétais une spermophage (une bouffeuse de sperme).
Rachid accéléra soudainement le mouvement de va-et-vient de sa main sur son zob et tendit le bassin vers ma bouche, signe quil nallait pas tarder à se libérer. Et effectivement au bout de quelques allers-retours supplémentaires de sa main sur la hampe, il figea tous ses muscles et poussa un puissant rugissement qui accompagna la première giclée de foutre qui pénétra directement dans ma bouche, grande ouverte. Elle la remplit presque totalement. Je me mis à lavaler par petites gorgées, pendant quil continuait de se vider les couilles sur mon visage, mon cou et mes seins.
Quand il sarrêta déjaculer, il se figea pour me regarder avec ravissement ramasser avec les doigts tout le sperme qui était sur moi et les lécher goulument tout en le regardant fixement dans les yeux. Il avait le sourire de lhomme heureux. Le sourire quil avait chaque fois que nous faisions lamour et quil prenait un immense plaisir.
- Je taime tellement me, dit-il en venant sallonger à côté de moi et en membrassant tendrement sur la bouche.
Cette nuit-là, nous refîmes lamour deux fois encore, après que je leus excité en lui parlant de mon viking et de ma décision de me faire tirer par lui le lendemain. Je ne savais pas encore comment my prendre, mais jétais sûre que le lendemain après-midi, je jouirai très fort sous les coups du zob non circoncis du gaouri.
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